lundi 30 avril 2018

Plaque de porc à la grecque

La semaine,  j'aime bien avoir un menu déjà établie à l'avance, cela m'aide dans la préparation des repas, mais aussi de la liste d'épicerie. J'opte souvent pour des repas qui se cuisine rapidement. Cette recette provient de Cuisine futée. J'aime bien les repas qui se cuisine sur une plaque, on économise du temps sur la vaisselle ensuite.

Pour préparer la sauce au yogourt et à l’ail, mélangez dans un bol 250 ml (1 tasse) de yogourt grec nature et 2,5 ml (½ c. à thé) d’ail haché en pot. Poivrez généreusement et ajoutez une pincée de sel.

Pratique pour les repas en solo ou pour les grands groupes, cette recette se divise et se multiplie très facilement. Par contre cette recette ne se congèle pas, mais je suis certaine qu'il n'y aura pas de reste.

Ingrédients:
  • 1 filet de porc d’environ 450 g (1 lb) en tranches de 1,5 cm (½ po) d’épaisseur
  • 1 sac de 680 g (1 ½ lb) de pommes de terre grelots coupées en 4
  • 2 poivrons en gros cubes de 2,5 cm (1 po) de côté
  • 1 oignon rouge coupé en 8
  • 15 ml (1 c. à soupe) d’ail haché en pot
  • 30 ml (2 c. à soupe) d’huile d’olive
  • Le jus de 1 citron
  • Poivre et sel
  • 125 ml (½ tasse) de feuilles d’origan frais
Étapes:

  1. Préchauffer le four à 230C (450F). Placer la grille au centre du four. Tapisser une plaque de cuisson de papier parchemin.
  2. Déposer le porc, les pommes de terre, les poivrons et l’oignon sur la plaque.
  3. Ajouter l’ail et arroser d’huile et de jus de citron. Remuer avec les doigts pour enrober et bien répartir les ingrédients sur la plaque, poivrer généreusement et ajouter une pincée de sel.
  4. Cuire au four 45 minutes ou jusqu’à ce que la pointe d’un couteau s’insère facilement dans un grelot.Au moment de servir, garnir d’origan et accompagner de sauce au yogourt à l’ail, si désiré.


mercredi 11 avril 2018

Salade de jambon, pois chiches et fleurons de brocoli

Ici, on ne se complique pas la vie pour les dîners.
Souvent, ça se termine par les restes de la veille, un potage, une soupe, un sandwich ou encore, ce que j’aime le plus, une salade repas !
Ce midi je suis  régaler de ma salade de pois chiches.  Les pois chiches sont l’une de mes protéines préférées dans les salades-repas puisque ça ne demande aucun préparation si ce n’est que de bien les rincer  mais vous pourriez aussi bien les remplacer par les légumineuses de votre choix.  Même chose pour le fromage : essayez avec du cheddar fort, du brie ou encore du fêta
Une recette bien simple et complet.


Ingrédients:
  • 1 conserve (540 ml) de pois chiches 
  • 3/4 tasse de mini fleurons de brocolis
  • 3/4 tasse de tomates cerise coupées en 2
  • 1/2 échalote française hachée finement
  • 1/2 tasse de fromage cheddar doux
  • 1/2 tasse de jambon coupé en petits cubes
  • 3 c. à thé de mayonnaise
  • 1 c. à thé de sirop d'érable
  • 1 c. à soupe de vinaigre de vin rouge
  • Sel et poivre

Étape:
  1. Dans un petit bol, mélanger la mayonnaise, le sirop et le vinaigre.
  2. Dans un grand bol, mélanger tous les autres ingrédients. Ajouter la mayonnaise puis bien mélanger. Rectifier au besoin l'assaisonnement.






vendredi 6 avril 2018

Les traces du passé

Il y a des blessures tellement profondes qui, on dirait prennent plus de temps à guérir.

Plus jeune, j'ai été victime d'intimidation. 
Je n'en parle pas souvent, mais cette réalité fait partie de mon parcours, fait partie de moi.

Je ne veux pas nécessairement entrée dans les détails des gestes causés envers moi, je ne veux pas non plus joué à la victime.
Je me suis jamais défendu, j'en ai eu honte longtemps.
J'avais plus tendance à paralysée sur place.
J'aurais aimé être invisible, me fondre dans le décor, disparaître, ne pas exister...
Je ne comprenais pas qu'on s'en prenne à moi.
Je ne savais pas ce que je fesais de correcte.
On me détestais pour qui j'étais.

Les mots, les gestes ça fait mal d'une brutalité, des cicatrices qui meurtrit l'âme.
Certains sont encore présent dans ma tête quand je retourne revisité mon passé.

Longtemps, je n'ai pas voulu déranger.
Je ne voulais pas prendre beaucoup de place, je me fesais toute petite.
J'imagine que j'agissait ainsi par mécanisme de défenses.
Encore aujourd'hui, je me met parfois en retrait.
Le pire c'est que j'agis ainsi sans vraiment m'en rendre compte, on s'habitue à ne pas prendre sa place...
J'imagine qu'en agissant de la sorte, je me sens en sécurité.

M'exposer me demande beaucoup de courage.
J'ai l'impression de me mettre en danger, mes peurs prennent le dessus.
Peur de me faire juger, peur de ce que les autres vont penser de moi, peur de me faire rejeter.
Tellement de peurs qui appartiennent à mon passé.

C'est moins pire dans ma vie d'adulte.
Je n'ai pas subi d'intimidation depuis.
Mais mes patterns, proviennent tous de ce moment de ma vie d'enfant.
Il faut sans cesse que je casse ces mécanismes de défenses pour sortir de mon isolement.
Quand je vous dit qu'apprendre à m'aimer a été ma porte d'entrée sur plein de choses, ça m'a permis, entre autre de faire la paix avec cette partie de ma vie.



Ça parait facile de dire qu'il a suffit de s'aimer pour casser le cycle de l'intimidation, mais m'aimer m'a permis de mettre une limite et de ne pas laisser personne me traiter de la sorte.

Cette blessure a laissé sur moi des marques profondes dans ma tête et dans mon cœur c'est certain.
Elle dicte encore quelque fois mes pas et mes pensées.
Juste y penser quelque fois est suffisant pour faire monter l'anxiété et l'angoisse chez moi.
J'ai juste appris à vivre avec cette réalité, appris surtout à me rassurer.
Maintenant, je le sais, personne ne peut me traiter ainsi, et si, une personne dépasse la limite, je prend mon courage et j'explique à la personne comment je me sens, ce que ces propos réveille en moi.

Mais si vous voyez que je m'isole parfois, n'hésitez pas à me sortir de ma solitude.